Oral history in FFS
Majors in French and Francophone Studies can choose to do an oral history project within various Francophone communities, both locally and abroad. The purpose of these project is to conduct a series of interviews within a specific community to record their history and identify the central issues that shape the identity of various Francophone communities.
A) Franco-American voice from Lewiston/Auburn:
Video link of Marie Marthe Louise Grenier Rivard’s Interview
Marie Marthe Louise Grenier Rivard (1911-2009) était la doyenne de la communauté franco-américaine de Lewiston/Auburn lorsqu’elle nous a parlé. Née à Saint Léon, Québec, elle est arrivée à Lewiston en 1923 à l’âge de 12 ans. Elle a travaillé dans les « shoe shops » et comme modiste avant son mariage en 1941 avec Roméo « Tom » Rivard. Ils ont eu cinq enfants. Marthe s’est dédié à sa famille, ses amis, son église et sa communauté. En 2008, le Centre Médical Régional Ste. Marie l’a reconnue pour son long travail comme bénévole (une cinquantaine d’années !). On disait : «Marthe aimait la vie et la vie l’aimait. »
Marie Marthe Louise Grenier Rivard (1911-2009) was one of the most senior members of the Franco-American community in Lewiston/Auburn when she spoke with us. Born in Saint-Léon, Quebec, she arrived in Lewiston in 1923 at the age of 12. She worked in the shoe shops and a hat shop before marrying Romeon « Tom » Rivard in 1941. They had five children. Marthe was devoted to her family, her friends, her church and her community. In 2008, St. Mary’s Regional Medical Center recognized her for her long service as a volunteer (about 50 years !). It’s been said : « Marthe loved life and life loved Marthe. »
B) Partnership in a Neo-colonial context between the French non profit E.S.P.O.I.R. and the Malagasy Association of Embroiders FANANTENANA
Ce documentaire analyse l’association Fanantenana comme une ressource pour la communauté locale, une ressource naturelle qui pose des questions sur les droits de l’homme. Grâce à l’aide de sa mère d’accueil pour la traduction, Gretchen Kaija a parlé avec les deux surveillants de l’atelier, Béatrice et Alain Patrick, ainsi qu’avec une partie des brodeuses présentes. Pendant ses visites, Kaija a découvert les nombreuses façons dont l’association Fanantenana offre à ceux qu’elle soutient un sentiment de confiance, un but collectif et une source de revenus. Son partenariat avec l’association E.S.P.O.I.R. en France a ensuite retenu son attention à cause de l’histoire coloniale de Madagascar, ancienne colonie française avant de devenir un territoire d’outre-mer. Ce documentaire examine les enjeux entre la France et Madagascar comme partenaires dans la création d’opportunités économiques et sociales pour une communauté de citoyens marginalisés. Quelles formes prend cette coopération en vue d’offrir des opportunités inédites pour ses membres et comment affecte-t-elle leur sentiment d’auto-efficacité ? Comment les membres de Fanantenana témoignent-ils de l’effet qu’une association telle que Fanantenana peut avoir sur le renforcement ou la limitation de leurs capacités professionnelles et leur épanouissement personnel?